Je cours vers Médée.
Je la touche. Comme on touche une porte ouverte. Je la porte à pleins bras avec la force d'un lion, je la berce comme on berce une amante détruite par le deuil, je sais qu'elle a tué ses enfants mais qui à présent est en mesure de s'occuper de sa douleur ?
Je la serre avec force contre moi.
Nos corps sont enlacés, seule la bouche est libre, nous chantons ensemble, « Toi qui descends des étoiles... ».
Je cours vers Médée.
Je la touche. Comme on touche une porte ouverte. Je la porte à pleins bras avec la force d'un lion, je la berce comme on berce une amante détruite par le deuil, je sais qu'elle a tué ses enfants mais qui à présent est en mesure de s'occuper de sa douleur ?
Je la serre avec force contre moi.
Nos corps sont enlacés, seule la bouche est libre, nous chantons ensemble, « Toi qui descends des étoiles... ».
Deux textes traversés par le personnage de Médée.
Anatomie d'un désir : « Elle », femme-mère, rêve de Médée... il y a quelque chose d'antiquement grec dans le coeur et dans l'esprit de cette femme prête à tout.
Médéàs : C'est l'appel d'une femme à toutes ses ressources pour préparer sa sortie du « présent ». Une vision de l'exil envisagé comme non-lieu et non pas comme perte.
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