Le problème des rapports entre littérature et société se pose à toutes les époques. Mais leurs rapports sont moins simples que ne le dit la théorie du miroir et du reflet. De L'Astrée à Werther, on pressent que le romanesque exprime le désarroi des milieux sociaux menacés par l'évolution historique. Mais Arthur, Lancelot et Tristan ne sont-ils pas autres ? Le merveilleux médiéval n'est-il pas un monde de pure fiction ? Erich Köhler démontre qu'il n'en est rien : les héros des romans courtois sont ... Lire la suite
Le problème des rapports entre littérature et société se pose à toutes les époques. Mais leurs rapports sont moins simples que ne le dit la théorie du miroir et du reflet. De L'Astrée à Werther, on pressent que le romanesque exprime le désarroi des milieux sociaux menacés par l'évolution historique. Mais Arthur, Lancelot et Tristan ne sont-ils pas autres ? Le merveilleux médiéval n'est-il pas un monde de pure fiction ? Erich Köhler démontre qu'il n'en est rien : les héros des romans courtois sont ceux de la société féodale et le héros courtois est pour lui un Don Quichotte gothique, sans avenir mais sans ridicule.
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